Yan SAMSON

                                     SAMSON  YAN

Ma démarche initiale traitait de l’architecture et de son intégration dans le paysage.

J’ai été fasciné par les travaux des précurseurs de l’art nouveau,comme MacKintosh à Glasgow, mais surtout par les délires mystico-surréalistes de Gaudi, ascète flamboyant, initiateur de la Sagrada Familia.

Cela ne m’empêche nullement de m’intéresser à l’architecture vernaculaire et à tous les témoignages de l’inventivité humaine , dès qu’il s’agit de tirer parti des ressources alentour pour bâtir une maison.

J’ai également comme référence Hundertwasser, génial coloriste qui s’est aussi intéressé à l’architecture en réaménageant des friches industrielles et autres bâtiments délaissés. J’ai donc commencé à peindre des villes, des villages, des châteaux, paysages très structurés, très colorés, puis je me suis dit que la couleur n’était peut être pas suffisante pour traduire la vie qui se cache au fond des ruelles ou derrière les rideaux.

J’ai alors décidé d’y adjoindre ça et la quelques visages puis des personnages entiers.
Mon travail actuel a donc sensiblement évolué vers plus d’imaginaire, résultant d’influences diverses: les rêves, l’actualité, les voyages faits ou à faire….et le vécu.

 

Chute libre
120×60

Haut les masques
116×89

Histoires cloisonnées
81×100

Horizon vertical
90×120

Jardins de bord de mer
65×81

La jetée
65×81

La maison blanche
100×50

Paysage disloqué
100×50

Plein soleil
92×60

Un nuage passe
60×60